Cavalier de l'apocalypse, je suis ton destrier
Dans le ciel paraît une éclipse quand passe mon corps d'acier.
Mon ombre obscurcit le soleil. Les civils effrayés
Plongent dans un sommeil éternel. Grâce à moi, brigadier,
Sans croiser le regard des morts, tu peux tuer, incendier.
Content, tu survoles sans remord les corps éparpillés.
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